La revue de presse : Cantates
inédites du Concours de Rome
Jacques Grimbert réussit un coup de maître en
enregistrant pour la première fois ces cantates
obligées de trois compositeurs majeurs de ce siècle.
L'interprétation de Grimbert et de toute son équipe
restitue à merveille ces pages à découvrir. (CD
des Cantates du Concours de Rome de Ravel, Debussy et
Caplet)
Franck MALLET / LE MONDE DE LA MUSIQUE - Fév. 1995
A. Hasse : Requiem
Ce chef d'oeuvre, a bénéficié de soins
attentifs, d'un travail en profondeur par des
interprètes particulièrement motivés et par des
solistes qui ont assimilé ce goût italien à la mode
Outre-Rhin. Ils ont réussi à mettre en valeur
l'invention mélodique et à conférer à ce Requiem tout
son relief et sa densité spirituelle. Cette double
réalisation (CD et édition de la partition) prolonge
l'inoubliable concert. (Requiem de Hasse)
Edith WEBER / Cahiers de sociologie économique et
culturelle - Déc. 1991
Mozart : Ascanio in Alba
Bravo donc à Musique en Sorbonne de nous valoir
lun des seuls enregistrements en studio dune
oeuvre lyrique de Mozart jamais réalisé en France.
(Ascanio in Alba)
Alain FANTAPIE / Discographie comparative, OPERA
INTERNATIONAL - mars 1991
Enfin un Mozart quasiment inconnu, juvénile à
souhait, léger et ardent, bien défendu par une
distribution tout aussi juvénile, par des choeurs d'un
bon niveau, une superbe petite phalange (le Concerto
Armonico de Budapest) et surtout par la direction
attentive, mais constamment vivante de Jacques Grimbert.
Un opéra de charme qui s'écoute avec gourmandise. Le
bicentenaire a du bon quand il sort des avenues
mercantiles. (Ascanio in Alba)
GG / LYON FIGARO - mars 1991
This is truly the Ascanio Mozart lovers have beeen
waiting for, and it is
highly recommended.
E. Thomas GLASOW / THE OPERA QUATERLY - autumn 1991
Gossec : Te Deum
Lannée du Bicentenaire nous a valu un
certain nombre de disques dont plusieurs tomberont vite
aux oubliettes. Ce ne sera pas le cas de celui-là, car
loeuvre quil contient - et que personne
auparavant navait déterrée - est
indiscutablement substantielle.
Marc VIGNAL / François Joseph Gossec, Requiem à grand
orchestre, LE MONDE DE LA MUSIQUE - Février 1990
The performance is exciting, with skillful
soloists, well-trained ensembles, and a conductor who
understandably knows the score inside out by this time.
Highly recommended.
J.F. WEBER / Gossec Te Deum, FANFARE - Jan. Feb. 1990
Il s'agit ici d'un enregistrement exceptionnel,
tant par le choix de l'oeuvre que par la qualité de sa
réalisation.
Sylvie HAUEL / Gossec Te Deum, OPERA INTERNATIONAL -
Février 1990
Entre Rameau et Berlioz un chef-doeuvre
propage le grand frisson: le Te Deum de François Gossec.
Jacques Grimbert et sa troupe ressuscitent Gossec avec
tout le style nécessaire, faisant scintiller des
sonorités que notre musicien sut créer avec cran,
annonciatrices du Romantisme. Un CD inespéré.
Paul MEUNIER / Te Deum de Gossec, TELERAMA Hors Série
Classique - Sept. 1989
LES CONCERTS
Les Saisons de Haydn
Ces Saisons de Haydn ont trouvé chacune leur
atmosphère, leur tonus et leurs couleurs particulières:
elles ont été transfigurées par la direction de
Jacques Grimbert qui a su les animer par
lintérieur en leur donnant une dimension
sacrée... Un moment de bonheur.
Claude OLLIVIER, Chronique sur Radio Notre-Dame - 29 juin
1995
Passion selon St Matthieu
C'est le travail admirablement accompli par
Jacques Grimbert: sa direction est souple et très
naturelle, libère tous ses artistes, et sans panache
elle est présente à tous les instants de la partition
et elle donne une inestimable pulsion intérieure à la
Passion. Cette force a habité puissamment tous les
moments de la musique et explique en grande partie
l'ovation du public touché en son coeur. (Passion
selon St Matthieu de JS Bach.)
Claude OLLIVIER, Chronique sur Radio Notre-Dame - 24
février 1994
Te Deum de Gossec
Musique en Sorbonne avait choisi de présenter le
Te deum de 1779 dune facture beaucoup plus savante
et dont le style peut faire penser à Mozart ou Haydn.
Pour autant quon puisse en juger à la seule
audition, cette révision de Jacques Grimbert a été
accomplie avec un vrai respect des particularités
stylistiques de Gossec. Linterprétation dans son
ensemble était très convaincante, le choeur et
lorchestre de Musique en Sorbonne semblaient
animés par lélan communicatif de cette oeuvre.
Gérard CONDE / Le Te Deum de Gossec en Sorbonne, Les
paradoxes du Bicentenaire, LE MONDE / 21 mars 1989
Passion selon St Marc
A côté de superbes partitions de Xenakis...Non
moins captivante fut laudition de la Passion selon
St Marc de Carl Philipp Emanuel Bach, retrouvée
seulement en 1985 et fort bien présentée par Jacques
Grimbert et ses musiciens de Paris-Sorbonne.
Jacques LONCHAMPT / Septembre musical à Turin, LE MONDE
- 27 sept. 1988
Requiem de Salieri
Le Requiem de Salieri frappe d'emblée par le
dépouillement voulu de l'écriture, selon une conception
de la musique religieuse d'où doit être banni tout
artifice ostentatoire. La direction de Jacques Grimbert
allait d'ailleurs dans ce sens, conférant à cette
musique une intensité croissante.
Gérard CONDE / En Sorbonne, Un requiem pour ressusciter
Salieri. - LE MONDE - 11 Juillet 1986
Le Choix dHercule
Quelle heureuse idée a eu Jacques Grimbert de
présenter en un même concert, côte à côte, Herkules
auf dem Scheidewege de Bach et The Choice of Hercules de
Haendel! Les Choeurs et l'Orchestre de Paris-Sorbonne se
sont montrés excellents, grâce à la ténacité,
l'enthousiasme et la direction ferme et nuancée de
Jacques Grimbert, grand artisan de ce succès.
Jean GALLOIS / Le Choix dHercule, OPERA
INTERNATIONAL - Mai 1985
Histoire de la nativité
Deux beaux concerts pour un anniversaire discret.
Un moment privilégié, assurément, qui est le fait
d'interprètes fervents et motivés. (Histoire de
la nativité)
Roger TELLARD / Schütz: Laustère radieux, LA
CROIX - 30 Janvier 1985
Alexanders Feast
En inscrivant Alexanders Feast, oratorio
profane de Haendel aux concerts de Musique en Sorbonne,
Jacques Girmbert a fait oeuvre courageuse. De nous
démontrer que la Sorbonne française na rien à
envier à certaines universités allemandes ou
anglo-saxonnes pour la résurrection réussie des chefs
doeuvre. lOrchestre de luniversité de
Paris-Sorbonne, en effet, sonne juste et vrai, comme les
choeurs.
Jean GALLOIS / Alexanders Feast, OPERA
INTERNATIONAL - Juillet 1985
La Sonnambula
Au terme d'un travail minutieux, en profondeur, la
partition de Bellini nous était révélée dans toute sa
finesse. Grâce à l'Orchestre de Paris-Sorbonne, bien au
point, grâce également aux choeurs, bien campés, aux
attaques précises, et d'une lisibilité constante,
grâce enfin à une distribution de qualité.
Jean GALLOIS / La Sonnambula, OPERA INTERNATIONAL -
Septembre 1984
Iphigénie en Aulide
L'élément prépondérant de ce concert a été
la belle homogénéité des choeurs et de l'orchestre
conduits pas Jacques Grimbert. Il a su leur insuffler une
élégance de style indispensable pour mettre en valeur
la partition.
Jacques GHEUSI / Iphigénie en Aulide, OPERA
INTERNATIONAL - Septembre 1984
Jacques Grimbert nous émeut souvent en traquant
dans cette magnifique partition de grands moments de
beauté. L'orchestre et le choeur se sont montrés à la
hauteur du chef-d'oeuvre. Le sérieux allié à la
passion produit des miracles.
Jacques DOUCELIN Iphigénie en Aulide de Gluck, Sérieux
et passion, LE FIGARO - 17 Juin 1984
Pas un instant d'ennui dans cette version que
dirige Jacques Grimbert.
Florence JARDIN / Lopéra de Gluck en version
concert, Iphigénie en Sorbonne, LE PARISIEN - 17 Juin
1984
L'enthousiasme communicatif et le sérieux avec
lequel Musique en Sorbonne vient de tenter l'aventure
doivent être mesurés à la hardiesse de l'entreprise
qui a permis une interprétation infiniment plus fidèle
à l'esprit de cette musique que ce que l'on entend
ordinairement. La direction de Jacques Grimbert,
attentive à la moindre fluctuation de tempo justifiée
par le sens des paroles dans les récitatifs ou les
scènes, témoignait d'une rare familiarité avec la
partition et avec le style véritable de la tragédie
lyrique.
Gérard CONDE Iphigénie en Aulide à la Sorbonne, Un
salutaire retour aux sources, LE MONDE - 12 Juin 1984
La Création de Haydn
Jacques Grimbert a, ma foi, presque réussi à
nous faire croire à une représentation de
professionnels... Allez-y... cela ne coûte pas cher et
cela peut rapporter... la conviction que les français
sont musiciens! Même à l'université. Surtout à
l'université. Bravo Jacques Grimbert! (La
Création de Haydn)
Maryvonne de SAINT PULGENT / Musique en Sorbonne:
luniversité en chantant, DIAPASON - Avril 1984
Les solistes avaient une parfaite homogénéité
à l'avant d'un orchestre et de choeurs où brûlait
l'admiration pour l'oeuvre vécue; le résultat: de la
beauté et du bonheur pour tous.
Claude HELLEU / La Création de Haydn, Une réussite, LE
QUOTIDIEN DE PARIS - 6 Mars 1984
Une manifestation qui témoigne de la vitalité de
la pratique musicale à l'Université grâce à la juste
ambition de Jacques Grimbert.
Hélène JARRY / Avec enthousiasme, Haydn en Sorbonne,
L'HUMANITE - 6 Mars 1984
La Passion selon Saint Jean
Exclusivement musicien, Jacques Grimbert sculpte
dans le marbre cette Passion selon St Jean, avec une
précision remarquable, avec une rectitude et une
noblesse qui ne manquent pas de subjuguer. Le public a eu
raison de répondre massivement. La soirée fut
magnifique, haute, émouvante, implacable.
(Cathédrale de Rouen)
Christian GOUBAULT / La Passion selon Saint Jean:
Implacable, PARIS-NORMANDIE - 16 Mars 1984
Roi Arthur
Pour qui ce Grand amphi bourré à craquer? ...
Pour le Roi Arthur, mais les princes de la soirée furent
ses chevaliers servants, le Choeur National et
l'Orchestre de Paris-Sorbonne composés, ne l'oublions
pas, presque uniquement d'étudiants, sous la direction
de Jacques Grimbert. Musique en Sorbonne nous réserve
ainsi de délicieuses surprises.
Florence JARDIN / Le Roi Arthur à la Sorbonne, LE
PARISIEN - 3 Février 1984
Dettingen Te Deum
D'excellents solistes, des choeurs et un orchestre
de Paris-Sorbonne admirablement soudés dans leurs
effectifs (réduits pour une telle oeuvre), font que
Jacques Grimbert nous livre une grande réalisation par
la souplesse des accents, le style retenu et cette
vérité intérieure qu'il a su retrouver dans une oeuvre
trop facilement jugée comme théâtrale et creuse! Une
réhabilitation! (Dettingen Te Deum de Haendel)
Claude OLLIVIER / PRESENCE ET DIALOGUE - Oct. 1983
Orfeo ed Euridice
La vérité stylistique y était entière, et plus
encore nous touchait cette interprétation aussi vivante
que vibrante. L'Orchestre de Paris-Sorbonne, les choeurs
étaient homogènes, enthousiastes, nuancés dans leur
plénitude, excellents dans leur diction. Le grand
artisan de la soirée était peut-être et avant tout,
Jacques Grimbert. Avec autorité, conviction et
enthousiasme, il a su entraîner et diriger tout son
monde.
Jean GALLOIS Orfeo ed Euridice, OPERA INTERNATIONAL -
Septembre 1983
C'est une superbe interprétation qui nous est
présentée, tant du côté des solistes que des choeurs.
Il s'agit d'un ensemble de très haut niveau qui
mériterait d'être mieux connu parmi les étudiants et
même leurs enseignants.
Hélène JARRY / Euridice retrouvée, L'HUMANITE - 8
Juillet 1983
Jacques Grimbert nous offre, à la Sorbonne, un
bonheur superlatif en effectuant un salutaire retour à
la version originale. Cest magnifique de style et
de musicalité dun bout à lautre.
Jacques DOUCELIN Orfeo ed Euridice, Pureté originelle,
LE FIGARO - 7 Juillet 1983
Que de belles sonorités, quelle heureuse et
profonde harmonie dans cet Orfeo ed Euridice de Gluck
joué à la Sorbonne! Nous avons été comblés par
l'excellente réalisation de Jacques Grimbert, qui
dirigeait les choeurs et l'orchestre!
Nicole CASANOVA / Lyrique, Sorbonne soirée, LE QUOTIDIEN
DE PARIS - 7 Juillet 1983
La Clémence de Titus
Jacques Mercier fait un admirable travail, la
distribution chante dans un excellent style, bon travail
des choeurs.
Jacques LONCHAMPT / La Clémence de Titus ou une audace
mal récompensée, LE MONDE - 19 avril 1983
La Prise de Troie et Les Troyens à Carthage
On se répéterait en énumérant les qualités
exceptionnelles des choeurs yougoslaves, parisiens, et
lyonnais (direction Vladimir Kranjcevic, Jacques
Grimbert, et Dominique Debart) qui participent
musicalement à l'action avec une efficacité jamais en
défaut et sont aussi beaux et colorés dans les
ensembles massifs que dans les interventions par petites
touches, ou les effets sonores inventés par Berlioz.
(La Prise de Troie et Les Troyens à Carthage,
2ème Festival Berlioz)
Philippe ANDRIOT / Le chef-doeuvre révélé, Le
Journal Quotidien Rhône Alpes - 22 Sept. 80.
Puccini et Honegger
Les Choeurs de l'Université de Paris-Sorbonne,
cet excellent et réputé ensemble qui figure au
"générique" de Médéa, ont été un des
piliers les plus solides. Puissance, clarté, justesse
des nuances, mise en place, et une ferveur qui, si elle
vient de la jeunesse des choristes, est vraisemblablement
due à l'ardeur que Jacques Grimbert leur insuffle.
Georges GALLICIAN / Festival dAix, Puccini et
Honegger à St Sauveur, LE MERIDIONAL - 3 août 1976
|